Echec et mat de la cabale contre le siège de l’honorable Vuanga

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L’heure de la révolution contre les antivaleurs a sonné. Il fallait que cette ère arrive. L’ere où la probité morale prime devant les billets verts.

Considérait jadis comme le mal congolais, l’appareil judiciaire de la République démocratique du Congo renaît petit à petit de ses cendres. Cette justice est en train de connaître la vraie régénération voulue par le président de la République, Félix Tshisekedi Tshilombo : La malhonnêteté laisse de plus en plus place à la rectitude.

D’après nos sources à la Haute cour, les éminents juges de cette grande juridiction ayant la mission de protéger la constitution n’ont pas concédé une balle de corruption bien tirée par le GOAT de cet exercice en matière des élections législatives.

La championne de validation (suspecte) de mandat à la cour aurait, une fois de plus, tenté une recidive. Cette dame dont la haine contre l’Honorable Christelle Vuanga serait devenu sa raison de vivre, aurait proposé 200.000 USD à la cour pour être miraculeusement proclamée elue en lieu et place de l’Honorable Vuanga.

« Cette dame ne cesse d’envier le siège de l’Honorable Christelle Vuanga. Elle a tenté de corrompre les juges de la cour constitutionnelle avec un montant de 200.000 dollars. Heureusement, les juges n’ont pas cautionné cette bêtise », a confié une source proche du dossier à capsud.net.

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Ce qu’il faut savoir sur l’affaire Vuanga

Le président Tshisekedi n’avait pas tort d’affirmer lors du briefing que la RDC a un peuple le plus mature d’Afrique sur le plan politique. Les élections de décembre 2023 confirment bel et bien cette rhétorique. Car pour échapper aux sanctions du souverain primaire, certains candidats avaient opté pour l’incivisme électoral afin de rester à l’assemblée nationale malgré, l’incompétence parlementaire.

Face à la vigilance de la CENI, ils avaient été démasqué de leurs entreprise criminelles. Et les sanctions avaient suivi.

Mais Contre toute attente, l’une des personnes impliquées dans l’incivisme électoral, connue du grand public pour ses antivaleurs et sa pareuse parlementaire s’est lancée dans ses méthodes vicieuses pour tenter d’usurper le siège de la représentante valable de la population de la FUNA.

Il sied de préciser que cet ennemi du progrès s’est trompé d’époque. Il ne saura pas arrêté cet élan du changement déclenché par le peuple congolais et toutes les institutions.

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Arthur Bitambi

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