La Crise de légitimité a toujours été un poison qui tue a petit feu, la République démocratique du Congo. Si la terre d’avenir pensait il y a plus de 60 ans par Lumumba est aujourd’hui une jungle dont la corruption et l’insécurité sont devenues un mode de vie, c’est à cause des dirigeants incompétents qui usent des moyens mafieux pour accéder à des fonctions importantes. Ce, au détriment des congolais intelligents, sérieux et honnêtes.
Depuis 2006, la RDC est devenue le théâtre des élections législatives chaotiques où, parfois, les vrais élus ne sont pas proclamés par la CENI et les instances judiciaires.
En 2023, la Commission électorale nationale indépendante dirigée par Denis Kadima avait décidé de changer les paradigmes en luttant contre les antivaleurs. C’est ce qui a conduit à l’invalidation de plus de quatre-vingts candidats députés auteurs de bourrage d’urnes, corruption et fraude électorale.
En dépit de ce nouvel élan déclenché par Denis Kadima et ses hommes, certaines instances sont restées, quant à elle, dans les vieilles méthodes qui consistent à nommer les députés moyennant les billets verts.
D’après les informations à notre possession, Henriette Wamu, l’une des candidates vomies par la population suite à son infertilité politique et impliquée dans l’incivisme électoral serait blanchie de tous ses péchés. Et s’aventurerait à confisquer le siège de l’honorable Christelle Vuanga, l’une des crèmes intellectuelles et étoiles montantes de la scène politique congolaise.
« Mme Henriette wamu députée nommée plusieurs fois par l’ ancienne cour constitutionnelle ne décolère pas.
Cette fois-ci, c’ est notre siège qu’ elle veut confisquer par la corruption comme dans ses habitudes. Falsification des procès verbeaux, retrait de la décision de la ceni au dossier bref elle s’y connaît parfaitement. Mère je sais que ça vous fait mal de voir les jeunes évoluer mais tour oyo nako beta yo toro toro« , alerte Christelle Vuanga.
Face à ces menaces, les détracteurs de Christelle Vuanga doivent savoir que “la justice de Dieu y en a“. Cette justice qui est au-dessus des toutes les justices justifiera sans doute, la servante du peuple.
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Arthur Bitambi