Denis Kadima a clôturé, jeudi 17 mars, les échanges sur la cartographie des centres d’inscription avec les sommités scientifiques. Ces échanges avaient débuté la veille au siège de la CENI.
La Centrale électorale ne souhaite nullement se contenter des demi-certitudes et d’à-peu-près dans la mise en œuvre des opérations électorales.
Prenant parole, Dénis Kadima s’est dit «comblé» par l’initiative prise d’associer le corps scientifique à ce processus.
« En effet, pour ce type de travail, on ne pouvait pas se baser sur les anecdotes. On doit avoir les observations des personnes qui utilisent une approche rigoureuse. J’ai retenu quelques points notamment la question en lien avec la disparité entre le centres d’inscription », s’est-il rejoui.
Pour lui, Il est indispensable de réduire les distances pour que la population puisse participer de façon optimale. Il a promis au corps scientifique de tenir compte de leurs différentes observations sur les données statistiques de 1984. Ces données ne sont plus réutilisables en recherchant des résultats probants.
« C’est en somme un point sur lequel nous allons discuter et voir comment le matérialiser. Ce n’est qu’un début et nous allons cheminer ensemble», a t-Il rassuré.
Prenant la parole à son tour, Thotho Mabiku Totokani, Secrétaire exécutif national de la CENI a remercié le corps scientifique. Ce, pour leur brillante participation à cet atelier. En promettant d’intégrer dans les travaux toutes leurs suggestions.
« L’occasion de vous rassurer que vos observations, vos critiques et surtout vos suggestions seront intégrées dans nos travaux » a-t-il confié.
Thotho Mabiku a indiqué que le but est de produire une cartographie prenant en compte des éléments pertinents fournis à la Centrale électorale. Selon lui, cette dernière s’est engagée dans une approche nouvelle qui est de changer l’image et la perception actuelle de la CENI.
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Ivan Kabamba
