Norbert Basengezi a échangé, jeudi, avec les représentants de la Fédération Internationale des ligues des droits humains (FIDH), du Groupe Lotus et de la ligue des électeurs. Ces échanges qui ont porté sur le scrutin de 2018 ont eu lieu au siège de la CENI à Gombe.
La visite des délégués de ces organisations des droits humains s’inscrit dans le cadre de leurs missions.
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Evaluation du processus électoral
Lors de cette rencontre, la CENI a précisé, par la voix de son Vice-président, qu’elle a payé un lourd tribut en termes des pertes en vies humaines et materielles.
Mais ces pertes, insiste Norbert Basengezi, ne sont pas comparables aux acquis des élections.
Pour le chef de cette délégation, Idrissa Traore, la FIDH se positionne en « acteur d’accompagnement et d’écoute des parties prenantes des élections ».
Il faut dire que la CENI a rassuré à ses hôtes que les élections de 2018 s’étaient bien déroulées.
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La CENI loue les avancées technologiques
En avant plan, la CENI met l’évolution technologique avec la machine à voter. Cet outil contesté mais qui a servi le 30 décembre 2018.
La CENI se dit aussi disposée à mettre l’expertise de cette machine à voter à la disposition des pays africains qui le souhaiteraient.
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Didier Barros Antadine