Dans un communiqué dont une copie parvenue à capsud.net, l’Association des Médias d’Information en ligne de la RDC (MILRDC), informe le public sur le mauvais comportement de la police à l’endroit du journaliste Stanis Bujakera.
Alors qu’il ne faisait que son travail, le Directeur de publication adjoint d’actualité.cd a été brutalisé et blessé ce lundi 21 janvier au siège de l’interfédéral du MLC sur l’avenue de l’enseignement.
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MILRDC condamne le comportement barbare de la police
Dans ce communiqué, le président du MILRDC, Israël Mutala, condamne fermement ces voies de faits sur la personne de Bujakera. Car la police est censée protéger la population et ses biens.
« MILRDC dénonce ce comportement barbare et attentatoire à l’exercice de la liberté de la presse ainsi qu’aux droits de l’homme de la part de la police ».
Ce confrère a été brutalisé par la Police alors qu’il devait couvrir le meeting de Martin Fayulu.
A cet effet, Stanis Bujakera voit son outil de travail, un téléphone, endommagé. Et sa main droite blessée après qu’un policier l’ait jeté par terre.
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Liberté de la presse oblige
Entant donné que tout journaliste a droit d’être sécurisé, MILRDC sollicite l’implication du commissaire provincial.
« MILRDC demande au commissaire provincial de la police d’assurer la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur travail », lit-on.
MILRDC demande en même temps l’ouverture d’une enquête administrative. Ce, pour que les policiers coupables, répondent de leurs actes et que les préjudices subis par le journaliste soit réparés.
Le MILRDC invite l’UNPC, JED et l’OMEC à une action commune pour protéger les journalistes dans l’exercice de leur métier.
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Didier Barros Antadine
