La Convocation de Jules Alingete par la justice congolaise est largement commentée par les journaux parus ce lundi. Dans sa « Une” le journal La Manchette titre : « Jules Alingete Key, l’homme à abattre ».
Dans cet article, nos confrères reviennent sur les propos d’un membre de l’opposition sur ce qui arrive à Alingete :
« Je constate que depuis un certain temps, après l’absence du gouvernement Tuluka, quelques
prédateurs financiers qui ont saigné à blanc les finances de la République via les projets extrêmement surfacturés sans les résultats palpables sur le terrain, cherchent la tête du Chef
de service de l’IGF, Jules Alingete Key qui abat un travail de titan depuis qu’il chapeaute cette institution pour l’intérêt du pays« .
Pour sa part, Le Monitor est revenu sur la déclaration des notables de la province de Mai-Ndombe sur l’affaire Alingete. D’après ce quotidien, les notables de la province de Mai-Ndombé demandent au président de la République de prendre des mesures qui s’imposent pour la sécurité physique du patron de l’inspection générale des finances dont le
travail est unanimement salué par toutes les couches sociales et la communauté internationale.
La Transparence quant à elle retrace l’origine du feu qui décime aujourd’hui, l’Inspection générale des finances. Pour ce média, tout part d’une mission de contrôle menée à la Gécamines. Cette mission de contrôle, indique les confrères avait été détournée pour la signature d’un pactole financier. Ce, en violation des principes qui régissent cette institution attachée à la présidence. Ce détournement de mission pour la transparence, est une bourde qui a mis en péril la réputation de l’IGF.
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Séminaire du gouvernement Judith Suminwa
Dans un autre registre, le journal la prospérité a parlé du discours de Félix Tshisekedi lors de l’ouverture du séminaire du gouvernement Suminwa. Dans sont discours, écrit la prospérité, le président de la République a appelé les membres du gouvernement à penser à la population.
« Nos concitoyens attendent des résultats
tangibles, nous devons être à la hauteur de leurs aspirations » lit-on.
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Emongo Gérôme