L’économie congolaise précisément le contrat sino-congolais, revient à la Une des journaux parus à Kinshasa ce jeudi 23 février.
Dans le contrat chinois, une vérité se dévoile. Selon Moïse Ekanga, deux milliards USD des fonds pour les
infrastructures sont toujours disponibles au niveau de la banque
Eximbank.
D’après La Référence Plus, l’ex-secrétaire exécutif du
Bureau de coordination et de suivi du contrat sino-congolais, Moïse Ekanga, l’a révélé sur Top Congo FM.
RDC-Chine, déjà 50 ans de normalisation des relations diplomatiques.
Au Congo, aujourd’hui 50 ans, un séminaire à Kinshasa sur cette coopération. Mais, quels sont les
acquis de cette relation diplomatique ? S’interroge La Prospérité . Avant de répondre « c’est une dialectique sans tabous ».
D’ailleurs, jusque-là, personne en RDC ne s’assume dans les contrats chinois, titre La Tempête des Tropiques.
En échange des minerais d’une valeur de 12 milliards
USD, les infrastructures concernées n’ont pas été
toutes livrées.
Il était question de la construction de 5 mille logements sociaux, 145 centres de santé dans tous les territoires du pays. Deux universités, 2 barrages hydroélectriques (Katende et Kakobola). La réhabilitation des aéroports de Bukavu et Goma, 31 hôpitaux et 3700 km de rail.
Intervenus en 2008, les contrats chinois se trouvent
aujourd’hui sans paternité du côté de la RDC. Par conséquent, les influentes autorités en vie se renvoient la balle.
Deux personnages qui parlaient au nom du Président de ladite période sont déjà décédés. Pierre Lumbi et Pierre Samba Kaputo ne sont plus de ce monde.
Pendant ce temps, Moïse Ekanga, qui gérait ce dossier entant que principal responsable du BCPSC (Bureau de Coordination et de suivi du Programme sino-congolais). Ce dernier laisse plusieurs zones d’ombre, en parlant de
ces contrats.
Sur le plan environnemental, L’Avenir rapporte les dégâts causés par la pluie de ce mercredi 22 février à Kinshasa.
À Kinshasa, quand il pleut, c’est le scandale qui survient.
Des murs de clôture sont écroulés, dans certains
quartiers, comme à Matete. Heureusement, aucun mort n’a été enregistré. Mieux vaut prévenir que guérir, car, « les mêmes causes produisent les mêmes effets ». Il se fait qu’après les averses, l’eau a du mal à se frayer du chemin. C’est dire que l’eau de pluie coule difficilement, et les inondations sont à l’ordre du jour.
Là où le bât blesse, c’est qu’en dépit des dégâts qu’entraîne l’eau de pluie, la population et les gouvernants ne se débarrassent pas des causes.
Le régime des emballages plastiques s’est avéré un nœud gordien au ruissellement des eaux à Kinshasa.
Les caniveaux dans les quartiers de la population, recueillent autant des déchets domestiques que des emballages plastiques. Et par conséquent, obstruant les voies d’écoulement des eaux.
Quand les eaux ne coulent pas, la stagnation entraine de la boue, et dans bien des cas, le fondement
(couramment appelé fondation). Des murs d’habitations en pâtissent, car le sol cède à la fragilité.
Au regard de tous ces dégâts, Forum des As s’interroge:
« Faut-il accorder priorité au curage des caniveaux
ou à la démolition des constructions anarchiques dans
les emprises publiques ?« .
Le Journal, conclut avec le décès du sénateur Flory Ntumba ce mercredi 22 février, dans un incendie dans la commune de Limete. Cette malheureuse nouvelle est survenue, quelques jours avant la rentrée parlementaire.
Le sénateur Flory Ntumba, est décédé après avoir réussi à sauver ses enfants dans la maison en feu.
À une étage de 3 balcons, ce dernier tentait de se sauver en sautant alors que les flammes envahissait toute la maison.
Par ailleurs, Modeste Bahati Lukwebo renseigne que, l’origine de cet incendie demeure jusqu’à présent inconnue.
.
Charlotte Mukanga